Le blog de flav1982.erog.fr
Lancement d'une carrière et fin d'une romance
Au petit matin 7h, Jack est déjà devant avec la limo, direction les bureaux de L, a peine dans le hall de l’immeuble, Barbie qui vient presque en courant à moi pour m’accompagner tout au long du trajet me conduisant au bureau.
Salut Flavio, tu as vraiment été toooo much au lancement et tu as tapé dans l’œil de L. Je le sais par Marion qui a entendu Lyne dire à Marco de ne surtout pas te contrarier.
— Ha bon ?
— C’est super, non !
— Je veux ! Dis moi ça fait trois jours de suite que je passe dans ce hall et à chaque fois, il est rempli de mecs qui semble faire de la figuration pour une pub de dentifrice.
— Hihihi, ce sont les mannequins, ils attendent que tu fasses ton choix !
— Quel choix ?
— Ben pour le prochain spot.
— C’est une condition de votre impresario.
— Et ils vont attendre jusque quand ? Je ne suis même pas au courant.
— Moi en tout cas ça me change des ficus, prend ton temps, hihihi.
— Où va-t-on ?
— Chez L !
— Il doit sans doute te présenter la jet-seteuse qui est arrivée il y a environ une heure. La vieille comtesse italienne qu’on voit partout, tu vois ?
— Non pas trop…
— J’ai rarement vu L faire autant le lèche botte, il veut peut être se la faire.
— Et tu sais le reste de mon planning ?
— Séance photo avec Marco à 11h et à 15h, tu rencontres ensuite Peggy, la créatrice du 502, regarde Lyne t’attend et elle est hors du bureau et pas contente de ça!
— Ok, à tout à l’h.
— Tu peux entré, tu es attendu, Marco t’attend à 11h, pour la campagne du métro.
— Super, c’est pour le maquillage 11h ou je dois être avant ?
— Je te le ferai savoir, je ne sais pas ce genre d’infos.
— Clair, excuse ma question idiote. C’est sans doute tellement je suis excité de poser pour Marco. (Hypocrite, calculateur, mais bien envoyé !)
Dans le bureau de L :
— Flavio, Flaviooo, que tu m’as manqué ! Bruxxxelles n’est plus pareil sans toi ! On se languit de toi.
Le lecteur fidèle aura reconnu Gina, qui en venant me faire une grande accolade, me murmura à l’oreil, tais-toi et ne fait rien capoter.
— Gina, Gina, toujours aussi belle !
— Flatteur, tu t’amuses bien ici ?
— Ma foi…
— J’en étais certaine ! (Oui ou non aller savoir ?) Moi dés que je suis loin de mes boutiques, au bout de trois jours je défaille. Tu manques à ta grand-mère, comme tu manques à tout le monde là-bas, et le bal qu’elle te concocte au château pour ton retour va rester dans les anales, tout le monde ne parle que de ça.
— Je me demande bien pourquoi ?
— Car le château n’a plus été ouvert depuis si longtemps. Il était temps que cette période de deuil se termine.
— Un château ?
— Oh, une vieille maison de famille sans confort.
— C’est une magnifique maison !
— Si Gina le dit, c’est que c’est splendide?
— Mais enfin Ted, tu ne sais pas qui tu embauches ?
— J’ai tellement de gens qui travaillent pour moi !
— Mais enfin, depuis quand les grandes marques ne mènent t’elles plus d’enquête sur leur star ?
— Gina, les poulains qui sortent de ton écurie n’ont pas besoin de ce genre de traitement.
— Oui c’est vrai, je suis une pro, toujours est-il que Flaviooo, est de la haute, c’est un Biamonds, il travaille avec moi pour le plaisir, si on avait pu prédire l’impact qu’il aurait, c’est chez Yves que je l’aurai amené.
— Biamonds, Biamonds ? Les écuries ?
— Les écuries, les chaussures, les vêtements, les céréales… Sur quelle planète vis-tu ?
— J’aurai du m’en douter, déjà avec Fontfaye hier.
— Francis est ici aussi ? Figure toi Flavioo que la Baronne Fontfaye aide aux préparatifs de la petite sauterie de ta grand-mère.
— Mais alors tu es le fils de la Comtesse Biamonds ?
— Petit fils et nous n’avons plus d’écuries en liste. On a gardé quelques chevaux juste pour notre bon plaisir…
— C’est d’ailleurs un grand gâchis d’après mon mari. Tu devrais engager quelqu’un qui remplace ton grand-père.
— Ce n’est pas du ressort du petit fils.
— Je n’en reviens pas, j’adore les courses, il faut absolument un jour que vous alliez me montrer vos chevaux.
— En Europe ? Le jour où j’y serais volontiers, mais vous risquez d’être déçu. C’était mon grand-père qui gérait l’écurie, il ne faisait que cela, depuis sa mort ce n’est plus pareil.
— Mais tu n’as qu’à venir au bal Teddy !
— C’est que aurai-je seulement un carton ?
— Tu seras mon cavalier, Pietro sera en Honduras comme d’habitude, ce sera comme dans le bon vieux temps, le dress code est « Blue » !
— Comme la langue du Griffon des armoiries Biamonds.
— Vous savez ce genre de choses ?
— Teddy a toujours rêvé d’appartenir à notre caste, un peu comme tous les ricains.
— Je suis là Gina, excuse moi !
— Je sais, je sais…
— J’aimerai beaucoup, ne fut ce que voir un véritable château et ses gens… Et si je sais ce détail du griffon, c’est que c’est aussi l’emblème de votre écurie.
— On peut organiser cela Flaviooo, n’est se pas, et puis si tu veux amadouer Francis, Teddy !
— L a réussi son coup avec Francis.
— Comment toi aussi tu auras une boutique dans sa nouvelle tour ?
— Uniquement des bureaux…
— Cela me rassure, pas que tes vêtements n’y aient par leur place après tout, les enfants ont le droit de s’habiller n’ importe où…
— Trop aimable, Gina. Ton Poulain fort heureusement a plus de manière.
— Je ne suis qu’une marchande de chiffon Teddy !
— Comme ça, tu es expert en art, cavalier, mannequin, impitoyable en affaire, combien de corde as-tu encore à ton arc ?
— Plus d’une je l’espère, sans cela, je n’aurai plus aucun secret pour personne.
— Si tu veux Flav, à la fin de ce contrat, on recherche toujours quelqu’un pour le département art, on peut te garder le poste, je pense que tu es un atout pour la boîte.
— Je suis flatté, mais ce poste ne peut pas me convenir, je n’aime pas l’art contemporain, ce qu’il vous faut ici. Ensuite comme l’a dit Gina, je m’amuse bien en ce moment, c’est plutôt sympas comme boulot, demain est un autre jour et je n’ai pas envie de tirer des plans sur la comète.
— Il sera toujours temps de reconsidérer l’offre le moment voulu.
— Teddy, comment as-tu fais changé d’avis Francis, il m’avait dit l’autre jour que tu n’avais pas assez de liquidité pour le projet.
— J’ai un atout dans ma manche que tu ne soupçonne même pas, et j’y perds quelques plumes…
Gina en soutenant mon regard, répondit par la négative, puis proposa un cocktail. Au bout d’une demi heure, elle me laissa en plan avec L, qui voulu me montrer sa collection de tableaux. Je lui rappelais que j’avais rendez-vous avec Marco et que ce dernier ne m’aimait pas de trop.
— Nous ne traînerons pas, et j’ai aménagé un petit étage de la tour en home sweet home, mais je n’y suis jamais, tu seras à l’h, avec Marco, je t’accompagnerai.
— Il vaut mieux, surtout si l’on veut éviter le massacre.
— Tu ne le trouves pas bon photographe ?
— Pour être honnête, il excelle dans un art bien caractéristique, celui de tirer en noir et blanc des monsieur muscles bourrés d’hormones…
— Je trouve aussi, qu’il stagne.
— Le succès de la campagne européenne, c’est que pour une fois les mannequins sont moyens, pas trop mince, pas trop musclés juste dessiné ce qu’il faut.
— Tu te sous estime, tu es très beau. Allons voir mes tableaux…
— J’aime beaucoup ceux-ci, ils ne m’ont quasiment rien coûté, ils viennent de petits antiquaires de Normandie, je ne crois pas qu’ils doivent valoir grand-chose, mais ils me plaisent.
Ils s’agissaient de scènes champêtres, des basses cours, des scènes agricoles, un me plut plus que les autres : des vaches sortant d’une cour de ferme sans doute après la traite sur le chemin du retour vers les pâturages, à la grille par laquelle, elles sortaient, le peintre volontairement sans doute a omis des barreaux, permettant une meilleur vue du paysage.
— J’aime beaucoup celui-ci, l’artiste a sans doute peint un paysage de son enfance, celui qu’il devait voir de la ferme de ses parents, enfant, au travers même de ses barreaux manquant. Ou bien, l’artiste ayant soif de liberté, rend aux génisses la leur, libère le paysage, en se libérant lui-même la conscience.
— Je pourrai vous écoutez parler des heures durant.
— Vous êtes né dans la terre, vous êtes un cow-boy de Milwaukee ?
— Comment sais-tu cela, personne ne le sait !
— Votre secret sera bien gardé, mais un conseil ne montrer pas trop ses tableaux, il faut être un homme de la terre pour savoir apprécier ce genre de scène, je ne pense pas qu’elles aient de grande valeur, sauf celle-ci, je les trouve cependant très belle aussi…
— Comment as-tu trouvé pour Milwaukee?
— J’ai entendu il y a peu quelqu’un dire de Milwaukee que c’était la vache à lait des USA, j’avais une chance sur dix, de tomber dans le bon état agricole que vous rappelle vos toiles.
— Bien joué, je vais venir avec vous Flavio choisir les mannequins, que Marco ne comète plus d’erreur.
Je n’avais encore jamais vraiment regarder L en tant qu’homme, 1m90 à peu de choses près 90 kg, très grand, d’apparence mince, les yeux noisettes, les cheveux à la brosse châtain clair, dans les dernières années de la trentaine, au look Ralph Loren, un peu bobo et surfait. Pour Gina ce ne sont que des vêtements chers, sans saveur, fait pour les nouveaux riches sans grande classe. L n’est pas un sexe symbole à mes yeux, plutôt l’archétype du mari idéal dans les Hampton, le brave père de famille épiscopalien. Mais que je ne m’égare, revenons au fameux Marco, j’arrivais pile à l’h en compagnie du big boss et je ne sus donc jamais ses plans initiaux. Il avait séparé en deux groupes les mannequins, les bodybuildés et les stylés. L le félicita d’avoir fait là un bon boulot, il congédia le groupe sans doute sélectionné par Marco celui des monsieur muscles. Sur le coup dépité, il fit bonne figure, Lyne n’en menait pas large et craignait sans doute pour son frère chéri. L lui demanda ou en était son prochain vernissage, et lui suggéra qu’il prenne du repos pour s’y consacrer. Les clichés pris lors de cette séance étaient catastrophiques, surfait, froid, même Lyne n’en voulait pas, et Gina mis son veto dessus, alinéa 133 de mon contrat.
(133 : Toutes images photographiques, télévisuelles, cinématographiques, … pouvant porter préjudice à l’image de Flavio Biamonds sera empêchée à la vente et à la diffusion. Le cas échéant des dommages de l’ordre de … pouvant être référé devant la court …)
Une imprésario en or vous en conviendrez. Qui très intelligente, comprenait que je manipulais L. Hors d’elle à la vue des clichés, elle brandit une copie de l’article 133 à L, se démenait comme une damnée, s’égosillait auprès de qui voulait bien l’entendre qu’on ne se moquait pas d’elle et de son agence. Elle me saisit par le bras, et me somma de l’accompagnée, dans la limo, elle retrouva toute sa superbe, le calme après la tempête.
— Flavio, Flaviooo, j’arrive ici, j’ai tout un plan en tête, me servir de l’image de ta famille qui bat son plein en ce moment, sache le. Ta grand-mère a repris son post de PDG et sa société a dés le lendemain remonté en bourse, 73 ans et faire dégager son fils, il faut en avoir pour faire un truc pareil. Donc j’arrivais le Voici et le Point de vue en main prête à faire doubler ton cachet et toi tu joues dans la cour des grands. Qu’as-tu fais avec Francis pour L? Si tu joues avec ses pieds, il peut être redoutable s’il s’en aperçoit…
— Comme tu vas… Disons que L voulait des parts dans cette tour, que Francis me devait un service…
— Très bien, tu ne veux pas m’en parlée ! Je dis à Jack de me déposée et…
— Ca va arrête ton numéro. J’ai obtenu de Francis que L ait des parts dans cette fichue tour, en échange L me cède une partie de ses parts.
— Tu as perdu la raison !
— Ne t’inquiète pas, quasiment rien, mais c’est un début, d’ailleurs avec mon argent, maintenant que je sais que toi aussi tu as des parts dans cette tour, les ¾ de ce que je peux gagner je veux que tu l’investisses dans son projet, mais qu’il n’en sache rien.
— C’est un très bon investissement mais pourquoi Flav ?
— Un jour, je serais au conseil des actionnaires, et je ferais en sorte qu’il perde son poste…
— Mais enfin il sera toujours un actionnaire majoritaire !
— Peut-être mais plus PDG, et perdre de sa superbe, il a horreur de ça.
— Tu déraisonnes. Je ne peux pas marché dans cette combine, Francis est un ami.
— Je peux me passer de tes services si tu ne veux pas.
— Ohlala, tu devrais tourner la page et vivre ta vie.
— Elle est tournée, je veux juste parvenir à graviter autour de lui.
— Il regrette, et tu le sais, tu n’as qu’à cligner des cils. Soit, n’en parlons plus, tu as créer ta société, je suppose ?
— Oui, dés que L m’a donné ma commission, sans ça je n’aurai eu qu’un portefeuille : Biam, c’est moi et mes 100 petites parts.
— 1/10 de l’avoir de L ! Tu m’épates.
— Allons manger un bout, David devrait nous rejoindre avec sa petite bande d’amis.
— Je sais que je sors à peine de l’adolescence, mais de là a traînée avec des petits jeunes.
— Gina, Gina, tu le sais que tu es superbe. Ne te fais pas priée.
A la terrasse de The Terrasse :
— Flavio, je crois que Teddy en pince pour toi.
— Un peu, mais il reste très pro !
— C’est ça qui me fait un peu peur.
— Il ne s’occupe jamais d’un mannequin.
— Je ne suis pas qu’un mannequin.
— Je sais Flavio mais à toi je peux te le dire. Teddy, était marié à une comtesse russe, un mariage d’argent, la pauvre voulait rentrer dans les ordres, sa famille l’a obligée d’épouser Teddy afin qu’il finance la rénovation de leur propriété en un hôtel.
— L a accepté un tel arrangement ?
— Pas du tout, il n’en savait rien à l’époque. Tu sais Teddy a toujours été à voile et vapeur, et cette famille russe avait mis le grappin dessus. Il a dans un premier temps pris du bon temps avec le frère qui l’a poussé dans les bras de sa sœur en lui sortant le couplet de la vierge transie de bonne famille, etcetera. Et lui il a tout gober, il a décidé de l’épousée, et quoi qu’en dise les mauvaises langues, il voulait la rendre heureuse, mais comment veux-tu rendre heureuse une fille qui voulait finir bonne sœur.
— C’est digne d’un roman cette histoire…
— Et elle finit comme une tragédie, elle s’est suicidée, après six mois de mariage. Depuis Teddy, L comme tu veux, est un veuf qui chaque mois se paye un nouveau mannequin, pour ne pas dire toutes les semaines.
— Je ne le trouve pas beau.
— Peut-être mais il a le pouvoir de faire et défaire les carrières de petits jeunes qui crèvent contrairement à toi vraiment de faim.
— Pourquoi tu me racontes cette histoire ?
— Pour te dire que Teddy a toujours voulu faire partie de notre caste, par le mariage notamment, mais qu’il n’a pas réussi, cette famille russe, de simples petits truands, tu es tout ce qu’il désire au fond, une vieille famille, un amoureux des arts…
— Mais enfin Gina ! Depuis quand monsieur le comte épouse t’il monsieur le comte ? Sur quelle planète vis-tu ?
— Je sais sur laquelle il vit et il ne se paye plus de petits mannequins à la sauvette depuis que tu travailles pour lui.
— Comment peux-tu le savoir ?
— Son bras droit est mon alliée fidèle.
— Lyne, cette chipie ?
— Elle fait toujours en sorte de le protéger.
— Si tu le dis. Mais je ne me sens pas concerné par ton histoire… Il n’est vraiment pas mon genre en plus. Le voilà qui arrive d’ailleurs mon ptit du moment.
— Quelle drôle de petit monde !
— Ils sont tous très sympas, tu verras.
Après les présentations, nous avons tous mangé une salade, David, Olga, Gina et tous les autres joyeux drilles de la petite bande, ensuite nous nous sommes rendus chez David pour jouer à leur jeu favoris : Le « Raconte moi ton histoire ». Le principe, dans un saladier, des noms d’auteurs, des noms d’héros de roman, film ou soap. Le jeu se joue en deux équipes, un joueur prend un coupon, donne un gage à un joueur de l’équipe adverse, ensuite il choisit un des joueurs de son équipe qui en fonction du coupon devra raconté une histoire, le joueur gagé de l’équipe adverse doit au bout de l’histoire dire si c’est une véritable histoire ou pas, si la réponse est mauvaise, il fait son gage.
Ex : David eu droit à Ellen (la série sur l’avocate muette) et nous résuma sa grande histoire d’amour avec un mal entendant.
Gina eu droit à Pretty Women, elle m’en voulut tellement qu’elle me griffonna un coupon Barbara Cartland, autrement dit je résumais mon histoire d’avec Francis, l’homme riche qui tombe amoureux de la vierge et désargentée pauvre fille. Olga eu droit à Will & Grace, elle raconta son amitié d’avec Dave et je vous épargne le reste de cette super soirée. J’en arrive aux différents gages, Gina avait taper dans l’œil de Romuald, l’avocat de la bande de dix ans son cadet. Il eu la bonne idée de lui faire enlever son soutient gorge devant tout le mode. Gina s’exécuta, en grande dame du monde, elle sut en à peine quelques minutes s’en débarrasser sans rien dévoiler de son anatomie faisant glisser son sous-vêtement dans une manche. Par contre, elle le piégea, son gage, plonger en sous vêtements dans le jacuzzi et revenir trempé jouer parmi nous. Il s’exécuta, l’alcool coulant à flot devant aider. Je n’avais jamais vu pareil sexe au repos d’une telle longueur car son boxer blanc trempé, plaqué sur son organe de 15 cm au repos, ne cachait rien. De chaque côté de sa bite une grosse couille, deux appels au vices. Pour rompre le silence c’est Olga qui couvrit le bel avocat étalon d’un plaid pour pas qu’il ne prenne froid. A la vue de se service trois pièces, j’étais en érection et avait hâte que la soirée se termine pour évacuer toute cette ardeur dans les entrailles de l’accueillant David. Les invités partirent tour à tour, Gina partit avec l’avocat et secrètement je l’enviais. David dormait déjà quand je voulus le rejoindre après avoir terminé de ranger les derniers verres dans le lave-vaisselle. Je décidais donc de descendre regardé un peu la tv et de faire appel à cette bonne veuve poignet pour atteindre le sommeil plus léger. Au lieu de tv, j’eus droit à un spectacle des plus surprenants, l’avocat habitait en fait juste en face, de l’autre côté de la rue, il avait le pantalon sur les talons, je pouvais bien voir ses fesses charnues qui dans un mouvement de va et vient faisaient entrer et sortir une verge dont j’en étais sur pour l’avoir mater au repos, devait être énorme dans la chatte à Gina. Celle-ci toute habillée, se faisait baisée comme une pro contre le mur, et tandis que je les regardais, je me saisis de ma propre queue trop à l’étroit dans mon jeans et je me branlais en les matant, surpris par Dave.
— Tu fais quoi Flav ?
— Tu dormais, et là je mate ton voisin en plein ébat avec Gina.
— Tu ne fais pas que mater, je vais m’occuper de cette érection.
Tandis que je continuais à profiter du spectacle, David de sa langue experte me prodiguait milles caresses buccales. Gina était maintenant assise sur une commode et le bel avocat complètement nu à quatre pattes lui mangeait la chatte après l’avoir bien défoncée. Sans jamais se douter que de mon côté, j’étais sur le point de jouir avec en champ de vison, ses deux belles fesses entre lesquelles ballottaient deux belles grosses couilles, un panorama que de bon cœur j’aurai dévorer comme lui dévorait l’entre cuisse de Gina. Quand il eu reprit de la vigueur, il la pistonna à nouveau et dans le même élan, je m’empara de David, le pris dans mes bras, le plaqua contre le mur, et après avoir déchirer son slip je le pris sans ménagement le faisant crier un peu de douleur mais ce fut de très courte durée, très vite, ses cris se transformèrent en cris de jouissances. Assis dans le sofa, j’eus cet aveux de David : « J’aime quand tu me baises comme si j’étais ta femme ». Je lui répondis sans doute encore un peu beaucoup grisé par l’alcool, que j’avais encore envie de sa chatte, et il s’empala alors sur moi, assis à califourchon, mon pieu rentra assez vite entièrement en lui, il était déchaîné, il prenait autant de plaisir à s’en procurer qu’il m’en donnait. De la position allongée que j’avais, je décidais de redresser mon buste pour pouvoir lui caresser le dos, les fesses, lui donner des petits bisous dans le coup, pour l’aider dans ses mouvements je tenais fermement ses fesses, lui facilitant ses ascensions sur ma queue. Par-dessus son épaule, surprise, Gina l’ayant sans doute laissé en plan une fois rassasiée, le bel avocat se paluchait, une belle longue queue de plus de vingt centimètre, tout en nous matant. C’était une soirée donnant donnant, dés qu’il devina que je l’avais repéré, gêné, je le vis sur le point de disparaître, je lui décocha alors un clin d’œil explicite et décida de pousser le vice un peu plus en amenant David sur le rebord de la fenêtre pour qu’il puisse jouir pleinement du spectacle. Sur le point de jouir, je sommais David de se mettre à genoux, pour récolter toute ma sève. Quand mon premier jet atterri dans son gosier, juste en face le bel avocat baptisait de sa semence sa fenêtre, tandis que mon mec ignorant tout de la situation actuelle de l’autre côté de la rue s’appliquait à me vider le dard de tout son nectar. Parfois le matin en faisant mon jogging, je croisais ce bel avocat, mais nous nous sommes juste contenté d’échanger de grands sourires. La vie avec David était tranquille, pas monotone puisque les soirées de chaque week-end étaient bien remplies, DC n’a vite plus eu aucun secret pour moi, dés qu’un nouvel établissement ouvrait nous étions de la partie et fréquentions tous les endroits branchés du moment. J’aimais beaucoup sa compagnie, ses amis, mais il manquait entre nous ce petit quelque chose qui fait que l’on a envie de vivre constamment l’un avec l’autre. Alors que mon contrat de représentativité arrivait presque à son terme, ressurgit dans Dupond Circle le premier amour de David, j’y ai déjà fait allusion, un petit blond assez séduisant, avec comme handicap la surdité. A chaque sortie, immanquablement on devait tomber sur lui, et par « bonheur » pour eux, ses lueurs dans les yeux, ses serrements de gorges, ses réactions électriques entre deux êtres pour les avoir connues, étudiées, quêtées en vain, je sais les reconnaître et j’ai refusé d’être celui qui entravait un amour évident. A la Terrasse, alors que j’étais en compagnie d’Olga, je lui tirais les verres du nez. Elle ne fit que confirmer se que j’avais deviné. Un grand premier amour, puis les doutes de l’age adulte, de la vie à deux, l’un qui n’acceptait pas son handicape, l’autre trop occupé dans son boulot et à présent des regrets… Je promis à Olga que j’allais tout arranger, de me laisser du temps, elle se confondit en argument pour et contre, je savais se que je devais faire, ne me restait plus qu’à trouver les mots justes,… Des mots qui finalement ne vinrent pas si vite que cela. Je décidais d’envoyé promener mon planning, de prendre le temps nécessaire à la réflexion, quitter David le plus proprement possible, faire un choix, les States, ou le retour en Belgique, me trouver dans les deux cas un impart ! Après une matinée de paillasse à flémarder au lit, je me décide pour un petit jogging, rien de tel pour faire le vide, je me donne à fond, je rentre dégoulinant de sueur, complètement crevé, et sur le porche L. Pour une fois que je prends un jour, il pourrait me lâcher.
— Flavio, il faut absolument qu’on parle. Ce n’était pas le bon jour, mais je fis contre mauvaise fortune bon cœur.
— Je prends une douche et je suis à vous, entrer.
Après une courte douche revigorante, je rejoins L dans le salon, qui n’y est plus, il est en compagnie de David au dernier dans son labo. C’est un L tout excité que je retrouve, plus celui inquisiteur que j’ai trouvé sur le porche d’entrée.
— Il est très doué. Nous avons notre photographe pour la campagne.
— C’est que ces photos ont été prises sur le vif L, je serais bien incapable de les reproduire, même avec toute la bonne volonté possible et puis David les gardes pour un vernissage l’année prochaine à la fin de mon contrat bien entendu.
— Je me doute qu’elle résulte de la vie intime (Souvenez-vous, plus haut dans le texte !), et j’envie David.
— Qui ne m’envierai pas monsieur!
— Certes, en tout cas, nous avons notre nouveau photographe Flavio, il fourmille d’idée et à un don pour la photographie c’est inné chez lui.
— Je n’avais jamais vu ses photos L et je les trouve vraiment belle David.
— Je les développe depuis hier, je voulais t’en faire la surprise.
— Moi en tout cas, j’achète !
— On ne vend pas ses souvenirs L.
— Tout à un prix.
— Si Flav ne m’autorise pas à les vendre, elles ne le sont pas.
— J’allais presque oublié, j’ai le photographe, le modèle, un studio qui attend, et de l’argent qui s’envole pendant ce temps là, alors messieurs en voiture ! J’étais venu vous faire part d’un problème et le voilà résolu.
David pris le contrôle du studio en quelques minutes, la campagne fut extra, la séance vraiment sympas, Olga venue par curiosité suite à un SMS de David finit par être par hasard le modèle féminin. Tandis que je prenais de l’eau à une fontaine, je ne sais plus quelle connerie, elle m’a sortit, sur les clichés on nous voit hilare et toujours est-il que la campagne s’est faite dans les coulisses à notre insu. Je suis persuadé que David savait très bien ce qu’il faisait, il a toujours l’œil pour saisir sur un visage toute son émotion. Je ne suis pas callé en art contemporain, mais je crois que la mode des coulisses, c’est lui qui l’a lancée, juste avant l’arrivée du voyeurisme des télé-réalités et de ce goût du public pour connaître l’envers du décor, ses clichés étaient de loin à mon humble avis précurseur. Finalement je n’ai pas su trouvé les mots de ruptures, et j’ai vécu la moitié de la campagne avec eux, de loin la plus belle puisque faite avec des amis. Nous avons quitté DC pour les grands états consommateur de jeans, en quittant DC pour cette tournée, nous avons quitté le fantôme de Dave, je n’y ai plus pensé, nous avons coulé des jours heureux. Jusqu’à une émission radio très connue à NY, annoncée à grand renfort de pub, Henri fit le déplacement. Dés que Dave le vit derrière la vitre du studio, je pense avoir entendu son cœur battre plus fort, j’ai vu son visage s’attendrir plus que de coutume. Et je n’ai plus reporté notre rupture. A la fin de l’émission, j’ai demandé à Olga de m’accompagnée, Henri étant aussi son ami, elle maîtrisait la langue des signes. Je lui ai fais la bise à l’européenne. Je lui ai expliqué que je lui rendais David, qu’il devait le rendre heureux, ne pas me décevoir, de venir l’attendre ce soir à l’hôtel. Olga lui traduit cela en langage des signes, mais il m’avait bien compris, et me murmura juste un «merci » la larme à l’oeil. Dans notre suite au Sheraton, David voulait savoir ce que j’avais dis à Henri, il m’avait vu au travers de la vitre du studio aller à lui, et je lui répéta textuellement la même chose.
— Il doit t’attendre dans le hall de l’hôtel à l’instant même.
— Mais et notre histoire c’était quoi, un truc sans importance ?
— Tu en parles déjà au passé, pour moi ça restera une très belle romance, mais pas aussi forte que celle que tu veux, qui t’attends et que tu désires…
— Mais,…
— Chuut ! File le retrouver.
— Je t’aime Flav.
— Moi aussi Dave, je penserais souvent à toi.
Nous nous sommes embrasser amoureusement, très amoureusement, rien qu’en évoquant se souvenir il me semble retrouver la saveur de ce baisé, une salive fraîche mêlée au sel des quelques larmes qu’il avait versé. Une belle petite histoire d’amour qui se termina comme elle avait commencée, tout en douceur. J’aurai l’occasion d’y revenir, et c’est moi qui verserait quelques larmes, mais restons dans mon passé, ne brûlons pas les étapes. C’est par ennui que je m’y suis replongé dans mon passé et je me pique au jeu des souvenirs. Henri a finit le tour de la campagne avec nous, il est aussi devenu si pas un ami, un connaissance reconnaissante, et j’ai appris à bien articulé pour lui pouvoir lire sur les lèvres et un peu le langage des signes. De retour à DC, j’ai pris mes affaires chez David, bien qu’il m’ait proposé de vivre avec eux en tant que colocataire, je me suis installé chez Olga, elle habitait un grand loft à l’époque, déjà ami, nous sommes devenus confidents, et je lui dois aussi beaucoup. J’étais célibataire et obnubilé par la réussite. J’étais en pour parler pour être l’icône d’un parfum, L renouvelait mon contrat, me proposant même un poste de directeur marketing, Gina recevait pour moi un tas de propositions que nous ne prenions même pas la peine d’étudier. Je venais de défiler à la semaine de la mode, tout me souriait ou presque car sans m’en rendre compte, je me suis plongé dans une grande léthargie.