Le blog de flav1982.erog.fr
Une carrière qui se profile plutôt bien et la fin du chasser-croiser amoureux avec Dave
-Ca ne peut plus durer Flav, tu dois prendre une décision.
-Je n’ai pas envie de leur faire du chagrin à tout les deux Olga.
-Dans la vraie vie, une vie à trois, ça ne s’est jamais vu ! Je veux bien que tu sois acteur mais de là….
-Je sais, je crois que pour mon bien comme pour le leur, je vais rompre avec les deux.
-Je ne voudrais pas être à ta place, et ne vais pas te conseiller, d’ailleurs je ne serais pas partial, Dave est mon meilleur ami, et puis seul toi sait ce que tu dois faire, tu t’es mis dans ce guêpier comme un grand, à l’avenir méfie toi juste de tes fans.
-Je n’ai rien venu venir.
-Prends enfin toi-même des décisions ! Tu as toujours laissé les gens choisir à ta place, je te dis ça en tant qu’amie et ne le prend pas mal. Mais, prend ta vie en main.
Les paroles d’Olga raisonnèrent longtemps dans ma tête, et je repense souvent à cette vérité que m’a dite mon amie. Je me laisse trop souvent vivre, suivant tête baissée l’amour, d’abord Francis, ensuite L, et après eux mon agent féminine. Je n’ai pas trouvé les mots pour rompre et n’ai donc rompu avec aucun des deux. Dave ne faisait pas la promo du film, son rôle de réalisateur s’arrêtant à la fin du tournage, je ne lui dona plus de nouvelles. Charlene, j’eux encore quelques rencards avec elle, le temps de la promo qu’elle gérait tout simplement. Une fois mon contrat terminé, je signa pour un autre film, à gros budget cette fois ci et je ne dona plus de nouvelles à Charlene non plus. Je la vis dans des magazines au bras d’un joueur des Red Soxs et j’en conclu que c’était terminé aussi. Je joua après un rôle secondaire dans un Woddy Allen, réapprenant pour l’occasion mon accent français perdu sur l’anglais, une très belle expérience, celle qui vu ma carrière prendre un essor au cinéma et les rôles afflués, beaucoup de second rôle, ce qui me convenait parfaitement, me permettant de ne pas rester trop longtemps au même endroit. J’ai donc enchaîné les rôles, mettant ma vie entre parenthèse, sur un tournage dans lequel je jouais un gitan, un rôle qui ne fut pas sans me rappeler quelques souvenirs des plus agréables, je me donna à fond dans mon interprétation, j’étais comme inspiré… Merci Romain.
Je venais de donner ma dernière réplique, tout le monde sur le plateau applaudit, et nous prîmes un drink d’usage avec toute l’équipe. Pendant ce verre, Olga m’appela, ça faisait un bail :
-Salut la star, trop occupé pour appeler ses amis ?
-Ca fait si longtemps que ça ?
-Pire que ça !
-Excuse moi chérie…
-Soit, je fais une fête pour mon annif, la semaine prochaine, j’aimerai que tu y sois, que Dave également soit de la partie, et que vous ayez pelé votre œuf avant mes festivités…
-Y a rien a pelé, c’est partit en vrille,…
-A cause de barbie, il m’a raconté ! Il n’empêche, qu’il a perdu sa muse le chéri, ne fait plus rien de rien, la presse le fustige, il a toujours entretenu son mythe mais là, il ne peint et ne photographie plus et il a même laissé poussé quelques poils hirsutes sur ses joues !
-Une barbe ?
-Ca ne s’appelle pas une barbe quelques longs poils sur le menton chéri, il ne va pas bien et rien n’y fait ! D’ailleurs s’il pouvait s’être lavé avant de venir à ma fête !
-Ok, ok, je serais chez lui demain matin.
-Passe prendre la clé à la boutique j’y serais.
-J’ai toujours la mienne…
-Impec, et si jamais tu as besoin d’une chambre, tu es toujours le bienvenu.
-J’irai chez moi cocotte, j’en ai envie.
-Ciao
-Ciao
J’en avais terriblement envie, début de soirée, j’étais en Virginie, j’écoutais à partir de la terrasse quelques disques oubliés. Je sirotais un Cosmo tout en pensant à L, quand Kate en bonne américaine, vint me sortir de mes pensées à grands coups de cris et de tapes dans le dos.
-En enlevant ma veste dans le hall, j’ai entendu de la musique et j’étais certaine que tu étais là ! Contente de te revoir !
-Moi aussi Kate.
-On a été voir tous tes films avec les enfants, si on nous avait dit ça il y a quelques années.
-J’ai encore beaucoup de mal à revenir en arrière tu sais.
-Ohh Flavvvv, smile ! Dis moi tout, Emma Thomson est-elle aussi sympa qu’elle en a l’air et Winslet elle fait des colos ou c’est sa couleur naturelle… Nous avons tous les deux partagé un bon repas, échangés quelques potins et fait le point sur le néant réciproque de notre situation amoureuse. Le lendemain matin, j’allais à Dupond chez Dave, croissants en main, dans le but de le secouer. Il ne vint pas ouvrir, je dus utilisé ma clé, l’intérieure de sa maison était dans un sal état, reste de plats emportés et leurs emballages croupissant ici et là, linges salles, désordres, et objets brisés. Je le trouva dans sa chambre couché sur son lit, de dos et nu, sur des draps d’une crasse repoussante, loin du Dave maniaque que j’avais toujours connu. Mon premier reflex fut d’ouvrir les rideaux, les fenêtres et aérer la tanière du fauve. Il émergea alors que je rassemblais son linge sale dans des sacs.
-J’suis mort et au paradis ?
-Si c’est le cas, il pue au paradis Dave. C’est quoi ce bordel !
-Mon problème, ma vie. Et il tente en chancelant de faire quelques pas et retombe de face sur son lit.
-Je vais te faire couler un bain.
-Dégage.
-Oui Dave, tout de suite après avoir mis de l’ordre.
-T’est pas prêt de partir alors hahaha ! J’ai trop bu hier soir et il me sort en pleine face un rot tonitruant.
-Merci pour le renvois, c’est très frais, va prendre une douche et vient m’aider à ranger ce fourbis. Après on parle.
-Bien mon cœur.
Une fois qu’il fut sous la douche j’appelais Olga, lui dit que c’était pire qu’elle ne le croyait, elle me dit qu’aucune de ses tentatives n’avaient réussi, que chaque week-end c’était la même rengaine, il se saoulait, et dormait le reste de la semaine. Quatre sacs poubelles plus tard, il émergea, rasé de prêt, et vint m’aidé à remettre de l’ordre.
-Bon sang Dave, tu fabriques quoi là !
-Rien, je suis foutus, tu m’as vidé.
-Ca j’en doute, depuis le temps que je ne t’ai plus touché !
-Imbécile, me dit-il tout en rigolant un peu quand même. C’est de mon talent et de mon cœur que je parle. Tu m’as laissé tomber pour une gonzesse, y a pas pire comme trahison.
-Arrête ton char, c’est votre comportement qui m’a déstabilisé, vous êtes rentrer en concurrence, sans même me demander se que je voulais. Je ne savais peut-être pas se que je voulais mais quand même, vous auriez pu tenir compte de moi !
-Toi, toi, toujours toi !
-Stop Dave, je ne suis pas venu pour disputer!
-Je crois que… Tu me manques trop…
-Tu m’as manqué aussi filou.
-Je ne savais pas que tu étais bi.
-Arrête un peu avec ses clichés, gay, bi, hétéro… Je ne sais pas ce qu’il c’est passé avec Charlene. Elle me plaisait, oui, mais pas autant que toi, tu me plaisais bien plus qu’elle.
-Tu veux ma mort, tu me dis que tu me préfères, que si je n’avais pas fais de ma gueule qu’en gros, tu me serais revenu.
-On ne va pas réécrire l’histoire, ni revenir en arrière, on a plus l’âge des regrets. Et à quoi bon, ce qui a été fait est fait…
-Oué, j’suis vraiment trop con.
-Bon, maintenant que c’est rangé ici, on va aller faire un tour au musé, je te paye le resto, cette nuit, je dors ici, et demain soir, on fait une sortie avec Olga et sa femme. Ensuite, je veux que tu te remettes à bosser sur ton œuvre !
-Elle serait trop lugubre, je vais me chercher un nouveau passe temps.
-Et bien ça sera ta période sombre… Chaque artiste en a une, et il te reste la caméra.
-Le cinéma, c’est grisant juste quand tu es derrière l’objectif.
-C’est gentil ça…
On a passé une superbe journée tous les deux, on a mangé en tête à tête, été dans une galerie avec Olga et sa compagne, le lendemain une excellente soirée de nouveau avec les filles, Kate en prime, en rentrant grisé par trop de cosmos, on a remis le couvert, et pas qu’un service. Après avoir fait voler nos vêtements de toutes parts dans la pièce, une fois nu, il s’est allongé sur le dos, moi gorgé de plaisir, avec pour seul préliminaire quelques savoureux french kiss, j’ai soulevé ses chevilles que j’ai enserrées de mes mains, amenant à hauteur de mon pieu ses belles petites fesses rondes, une fois positionné, j’ai lâché une de ses chevilles, mais maintenu son corps dans la même position d’offrande. J’ai craché dans ma main libre, badigeonné sa rosette, insérer quelques phalanges de mon majeur dans son fondement, n’ayant aucune résistance, soumis à mes assaut, j’ai ressaisi sa cheville de libre, j’ai pointé ma bite vers cette porte mis ouverte, contre laquelle j’ai butée à quelques reprises avant de m’y introduire d’une traite. Je l’ai défoncé sans aucun ménagement, lui n’a fait par ailleurs que m’encourager. Au bout d’une dizaine de minute à peine, je me déversais dans ses boyaux. S’il ne m’avait dit qu’il commençait à avoir quelques raideurs à cause de la position, je crois que j’aurai cherché à reprendre vigueur et reproduire la même joute. Je l’ai donc libéré de mon emprise, je me suis extirpé de son fondement et il s’est massé les cuisses, s’est détendu les jambes. Alors que je pensais que nous allions nous endormir, je me suis allongé, j’ai passé mes bras derrière ma tête pour support. Lui en a profité pour plonger sa tête sous mes aisselles qu’il a humées puis léchées, il est ensuite descendu à hauteur de mon sexe, en train de débandé, en demi molle comme dirait l’autre, et il a lapé l’objet de tous ses désirs, il s’est aussi attaquer à mes couilles, juste avant de plonger sa langue entre mes fesses. Etant devenu plus massif que lui, il saisit l’intérieur de mes genoux pour avoir plus facile à me mettre les jambes en hauteur et me fit un cunnilingus hors norme. Mon sexe repris vigueur, mais il ne s’y intéressa nullement, je me branlais par moment tout en savourant les caresses de sa langue, qu’au bout d’un moment, il remplaça par son sexe bien bandé. Il me remplit au final après pas mal de va et vient à son tour les entrailles. Il avait à peine déculé de moi, que je repris possession de son petit cul. Je le baisais comme un damné, lui en redemandais, de voir son sexe flasque duquel s’échappait encore quelques gouttes de spermes, cela m’excita au plus haut point. J’étais conscient d’avoir le monopole de son corps, conscient aussi de sa soumission, de son abandon total, mais ça ne me suffisait plus, j’avais beaucoup d’affection pour lui, mais pas assez d’amour. Au réveil, je ne le trouvais plus à mes côtés, il était en train de peindre, le génie lui était revenu.
-Ha salut Flav !
-Dave.
-La forme ?
-Moyen…
-Moi j’ai de l’entraînement, je suis ok !
-Je vois ça !
-Quel pied cette nuit, comment peut-on être autant en accord au pieu, et ne plus assez s’aimer pour vivre à deux ?
-Sympas cette manière de me foutre dehors !
-Mais non mon chou, vint-il me dire en m’embrassant à pleine bouche. Tu es ici chez toi, tu sais bien… Je t’aime.
-Moi aussi.
-Tu vois on s’aime, je t’aime, tu m’aimes mais plus assez pour une vie amoureuse, on traîne trop de casseroles à nous deux, qui sont propres à notre histoire.
-Si tu le dis !
-Tu sais très bien ce que je veux dire… Et puis t’est devenu une star…
-Rien avoir.
-Je crois que quand on sera vieux, on vieillira ensemble dans la même maison de retraite, en attendant, ne nous perdons pas de vues !
-Ok, ben je rentre chez moi !
Je suis parti sans même prendre ma veste. Alors qu’intérieurement, je me disais qu’on avait fait une connerie de se remettre ensemble, lui me disait se que je voulais entendre et ça ne me plaisait pas. Il semblait depuis notre partie de jambes en l’air complètement détaché. Me rendait-il la monnaie de ma pièce ? Le jour de l’anniversaire, c’est à peine si je lui ai adressé la parole. Mais quand tous les invités sont rentrés, qu’on aidait Olga à ranger son loft, je fus bien obligé de lui parler. Comme lui engageait la conversation comme si de rien n’était, faisant comme si nous étions toujours les meilleurs amis du monde, je fis pareil. Au moment de partir, il proposa de me déposer, j’accepta, arrivé devant chez lui, je lui dis de remonter l’avenue principal jusqu’au Marriott le plus proche.
-Tu ne vas pas payer une chambre d’hôtel quand même.
-Je préfère !
-Fais pas le con et amène tes belles petites fesses à l’intérieur.
-Tu deviens bien vulgaire Dave !
-Si tu veux de la vulgarité, tu sais quoi faire avec moi ! Il posa sa main sur mon paquet, me malaxa bien les couilles, la réaction fut immédiate, mais je lui enlevais vite sa main de mon entre jambe.
-Tu joues à quoi ?
-J’ai envie de baiser encore…
-Appel un gigolo, ou un type de ton répertoire, je suis sur qu’il y en a plein qui n’attendent que ça !
-C’est toi que je veux…
-Je ne veux pas…
-Menteur, direct tu bandais…
J’ai à nouveau passé la nuit avec lui, on a couché ensemble une fois de plus, le lendemain, je suis retourné à la villa, sans même le réveiller. Durant toute la semaine qui suivit cette nuit, je paressais au lit, me baladait à pieds ou à cheval, et n’eut aucune nouvelle de lui qu’uniquement par le biais d’Olga, heureuse qu’il se soit remis au boulot. Le vendredi soir, il m’appela :
-Tu fous quoi ! On est tous à la Terrasse et on t’attend pour bouger.
-Bouger sans moi, je n’ai pas envie de sortir.
-Allez te fait pas prier, une fois dans l’ambiance, tu t’éclateras comme d’habitude. Et puis tu me manques, et aux autres aussi, alors tant que tu es dans les parages amènent tes jolies petites fesses.
-Ca devient une obsession mes fesses ?
-Ben depuis que tout le monde les a vues dans ton dernier film.
-Ha ok ! Ben amusez-vous bien, et si tu veux voir mes fesses, ben va au ciné.
Deux heures plus tard, ils débarquèrent tous à la maison, les amis de longues dates et on déboucha quelques bouteilles, ils me chamaillèrent à propos de cette scène de nudité dorsale alors le centre de toutes les conversations. Scène trop hot pour certains, insignifiante pour les lesbiennes, inutile pour un Dave ouvertement jaloux. Tous le monde enfin partit, il resta prétextant une envie de randonnée équestre le lendemain matin. Allez savoir pourquoi, je le laissais passé la nuit à la plantation. Plus sensuel que jamais, nous avons eu des rapports on en peut plus charnels, je dirais même amoureux et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. A mon réveil, il était partit. Vers 10h, il me sonna, me demandant se que ça faisait comme impression de se réveillé seul après une nuit comme on venait de passé. Je lui dis que j’avais bien saisi le message et qu’il me manquait. On a remit ça trois jours plus tard chez lui, je suis resté pour le déjeuner cette fois. Puis en moyenne, une à deux fois semaines, l’un passait la nuit chez l’autre et vis versa. Je signa pour un téléfilm, une adaptation d’un Daniel Steel, et m’éloigna six mois de DC. On s’est téléphoné une ou deux fois par semaine, sans jamais échanger une parole tendre, ayant des conversations tel deux bons amis. Au maquillage, je suis un jour tombé sur un magazine ou on le voyait en compagnie de son jeune assistant dans des attitudes et des gestes équivoques. Dés lors je n’ai plus appelé, lui bien. Quand il m’appelait, je l’expédiais, ne le résonnait quasiment pas, pretextant un emplois du temps surchargé. A mon retour à DC, j’ai fais quelques sorties en compagnie de la bande, je n’ai pas été passé la nuit chez lui, retrouvant la route du loft d’Olga. J’étais même furieux de l’apparition de son assistant dans le groupe de nos amis, le message était clair, évident bien qu’ils restèrent distants en ma présence. Ce sont les regards des amis, les messes basses quand le petit jeune arrivait qui me conforta dans mon idée. La veille de mon départ pour une visite éclaire en Europe, il m’a accompagné à l’aéroport.
-Pourquoi tu ne viens plus chez moi à Dupont?
-A quoi bon, en plus je ne comprends pas pourquoi tu tenais tant à m’accompagné aujourd’hui, car bien que notre relation se borne à quelques parties de baises uniquement pour toi, je n’ai pas apprécié d’apprendre ta double vie par le biais de la presse.
-Tu es aussi tomber sur ce torchon, j’aurai du m’en douter. Il ne signifie rien pour moi !
-Ne me dit pas ce genre de boniments, j’ai passé l’âge de la belle innocence.
-On ne s’est plus jamais rien promis remarque, on a même plus jamais parlé de couple.
-Je sais, mais on avait toujours été honnête malgré tout. Je pensais qu’il ne servait à rien d’en parler, que ça coulait de source. En plus on baise sans capote, va savoir avec qui d’autre tu t’envois en l’air protégé ou pas !
-Tu n’avais qu’à me demander.
-Charmant, ça va être de ma faute maintenant…
-J’irai faire un test, je te dirais quoi…
-Comme si ça pouvait changer les choses, le mal est peut-être déjà fait et ça prouve bien que tu n’es pas tranquille.
-Ca veut dire que la prochaine fois, ce sera avec capuchon ? C’est moins bon, j’aime quand tu m’inondes de ton foutre.
-T’est trop con !
-Tu bandes je suis sur !
-Non Dave, tu dépasses les bornes, je pensais que tu n’étais pas de ceux là. Protège toi à l’avenir, tu finiras par attrapé une MST, avec moi il n’y aura plus d’avec ou sans capuchon.
-Faut bien mourir de quelques choses… Il n’eut pas le temps d’en dire d’avantage, il reçut une bonne gifle en plein visage, comme nous étions encore en route, ildonna un coup de volant vers la bande de droite, se qui nous valu quelques coups de klaxons.
-C’est bon putain, je charriais, … Tu m’as fait mal. Je t’accompagnes jusqu’au guichet d’enregistrement? C’est bon répond Flav, fait pas chier !
-Dave, je crois que je viens d’être on ne peut plus clair. Juste, fait attention à toi, c’est tout se que je te demande…
D’Europe je l’ai appelé une fois alors que j’étais en visite chez ma grand-mère, il fut charmant, ses analyses étaient aussi clean que les miennes, nous sommes restés amis, chacun ayant sa vie à lui. Le tournage du film suivant auquel je participa se passa à NY, pas trop loin de DC mais suffisamment, j’ai fais quelques sauts jusque là, le voyant à peine une heure autour d’un drink tout au plus, nous restions en contact tel deux bons amis, évitant juste de dormir ensemble, évitant l’inévitable quand nous ne nous retrouvions seul dans un lit. La chair peut parfois être bien faible.
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