Flashback sur ma vie ou La vie d'un mec Gay: Flav
Ses passions, ses amours,...
(Pour lire le récit succintement, il faut aller à reculons, et commencer par le texte de la dernière page.)
Le temps des affaires (Troisième partie)
Rappel : Flav est en Allemagne et coacher par sa mère, prend en main l’héritage de son père, lors d’un cross, il fait la connaissance d’un certain Herbert Klaus. Ils doivent se retrouver dans les lignes qui suivent pour un nouveau défi.
-J’arrivais en trottinant à la croix de fer dressée au centre du bois, en faisant le moins d’effort possible afin de m’assurer une seconde victoire, tout en étant suffisamment échauffé. Herbert m’y attendait déjà…
-J’étais persuadé que vous viendriez.
-Je suis là en effet. On la fait cette course ?
-L’arrivée, notre point de départ, d’ici nous filons jusqu’à la chapelle, en faisons le tour et que le meilleur gagne, je vous laisse donner le top.
-Top… Dis-je, tout en démarrant notre course, certain de ma victoire. Un sentiment qui s’accru quand au bout de quelques minutes, en me retournant pour voir la distance qui nous séparait l’un de l’autre, je ne le vis pas. Je continuai ma course de plus belle, ayant envie de le croiser dés lors que je serais sur le chemin du retour. Mais qu’elle ne fut pas ma surprise en haut de la côte qui menait à la fameuse chapelle, de le voir s’étirer sur une marche du perron. Dés qu’il m’aperçu, il fit sous mes yeux le tour de l’édifice, et me croisa bien vite à contre sens, certain de sa victoire. En bon mauvais perdant, je continuais tout de même ma course, réfléchissant à ce que je pourrais lui dire…
-Vous êtes un tricheur monsieur Klaus.
-Pas le moins du monde monsieur Biamonds. Nous étions d’accord sur trois points, faire le tour de la chapelle, revenir à la croix, et que le meilleur gagne, n’est se pas ?
-Vous m’avez bien eu en effet…
-Comme en affaire, il faut toujours connaître le terrain avant de se lancer.
-C’est la deuxième fois, que vous insinuez sur mes capacités de gestionnaire, j’aimerai que vous me dites clairement les choses, si vous voulez jamais encore courir en ma présence.
-Je vous l’ai déjà dit, vous ne connaissez rien des fabriques de votre famille.
-Car vous oui ?
-Je pourrai vous en dire pas mal en effet, mais là, je vois que vous êtes surtout essouffler, ça vous dit un verre d’eau fraîche chez Beth ?
-Ma fois oui, mais je n’ai rien sur moi pour payer.
-Moi non plus, mais Beth mettra ça sur ma note, je suis un habitué.
-Dans ce cas…
Voilà comment nous avons atterrit dans l’auberge de Beth, seul débit de boissons du coin « authentique » d’après Herbert, avec les typiques nappes à carreaux rouges et blanches et les chopes en grés peintes. Je n’ai rien compris au dialecte de Beth, je me suis laissé servir par Herbert, et même bercer par sa voie. Son anglais avec une pointe d’accent allemand, je le trouvais plutôt plaisant et même s’il ne m’avait pas répondu à ma question, je le laissais me raconter son pays, un peu le mien. Le soir tombait, je le fis remarquer alors que de plus en plus de jeunes gens remplissait les lieux, j’appris plus tard que le soir, c’était le point de ralliements des jeunes de la région. Il me raccompagna jusque chez moi et me nargua en me montrant quelques raccourcis à travers bois.
-Avant de nous quitter. Vous m’avez beaucoup parlé de la région, de ses gens, mais pas des Birken !
-Vous faites quelques choses ce samedi ?
-Pas que je sache.
-Au lieu d’une course, du tourisme instructif ça vous dit ?
-Avec vous ?
-Oui et sans raccourci, 8h à la croix de la fin.
-Vendu, la croix du bois c’est bien ça ?
-Oui on l’appelle « de la fin » car elle a été érigée pour marquer la fin d’une épidémie de fièvre espagnole.
-Et bien, elle est attestée depuis le 14ème siècle alors ?
-Je suppose, je n’ai jamais vérifié.
-Bien à samedi.
-C’est cela, oui !
***
-Qui était ce jeune homme avec toi Flavien ?
-Un voisin avec qui j’ai sympathisé et avec qui je cours à l’occasion.
-Je suis contente que tu te plaises ici, bien que ça ne vaille pas chez nous.
-Ne sommes-nous pas ici aussi chez nous.
-Si bien entendu, mais chez nous, c’est chez ta grand-mère, promet moi de ne jamais t’en défaire.
-Ou de la céder à une ville comme votre amie Gaby
-Bandit !
-Demain, qu’est se qui nous attends ?
-On va passer dans les différents services de l’usine, je ne doute pas qu’un grand nombre d’ouvrières rêvent de te voir en chair et en os.
-Ca me manque les autographes et les photos, ça tombe bien.
***
Durant cette visite, dans les ateliers, je me suis de bonne grâce plier au jeu des photos et des autographes, il n’y avait que dans les bureaux que l’on n’osait pas me demandé pareil chose. C’est dans les bureaux que je croisa Herbert, le costume lui seyant bien plus que les vêtements de sport. Il demandait à une secrétaire que tout soit prêt demain sur son bureau. Alors que nous arrivions en escorte dans le service marketing. Soit le directeur et quelques cadres des différents services, comme Herbert arrivait dans notre direction, je devinais que le directeur était embêter de nous le présenter, mais il nous fut présenter comme étant le sous directeur de la section enfant. Directement, ma mère demanda pourquoi il n’était pas présent lors de la réunion des directeurs. Herbert lui répondit tout de go :
-Car il y a incompatibilité entre moi et vos autres directeurs. Et que eux comme vous, vous ne pouvez pas vous passez de moi tant que je génère des bénéfices.
-Monsieur Klaus je présume, mon mari aimait beaucoup votre franchise et m’a louée plus d’une fois vos talents.
-Merci madame.
-Je compte bien en effet que vous ne nous quittiez pas, de plus, j’adore le nouveau catalogue pour enfant que vous nous avez concocté cette année. Bien, maintenant continuons messieurs.
Ainsi donc, ce samedi, j’allais faire du tourisme avec un de mes sous-directeur, je me posais quelques questions et si mon instinct me disait de lui faire confiance, je ne voulais pas refaire la même bêtise qu’avec Max. C’est donc sur mes gardes, que la semaine s’étant écoulée, je me rendis à la croix de la fin.
-Vous êtes pile à l’heure monsieur, c’est parfait.
-Je le suis, mais je n’ai pas encore pris de petit déjeuner.
-Allons chez Greta, la boulangère, avez-vous déjà mangé un « mètre de fraise ».
-Ma fois, j’ai faim, mais un croissant suffira.
-Laissez-vous tenter. Ca ne fait pas réellement un mètre et c’est délicieux !
-Ok.
Cette pâtisserie, est une sorte de milles feuilles à la chantilly, les pâtes sont plus épaisses et plus sucrée que dans la recette traditionnelle française, dans la chantilly entre les deux pâtes, des fraises, et sur la couche du haut des spirales à nouveaux de chantilly, soupoudrée de sucre impalpable. Tout en marchant hors du bois vers des champs, le savoureux déjeuner terminé, alors que je me pourléchais les lèvres, afin de me débarrasser de cet excès de sucre éparpiller par le vent, en riant il me dit que j’en avais encore un peu au dessus des lèvres vers la droite, et ma langue ne parvenant pas à cet endroit, de son majeur, il me débarbouilla, son doigt effleura mes lèvres un bref instant. Ce moment aussi succinct fut-il, ce contact m’électrisa, aussi embêté que moi par ce geste spontané, un chouya tendancieux ou spontané, j’hésite, je me mis à rire pour détendre l’atmosphère. Nous étions arrivé à une petite ferme, deux chevaux scellés nous attendaient attaché à un chêne, ainsi que deux vélos contre une rambarde.
-Je ne savais pas si vous saviez manqué, alors j’ai fais préparé deux vélos au cas ou.
-Imaginez que je ne sache pas faire du vélo non plus.
-Je n’avais pas envisagé ce cas de figure.
-N’ayez crainte, j’adore les chevaux, et je n’en fais plus suffisamment à mon goût.
-Dans ce cas, Isabella sera pour vous. Moi je prends Xanthos.
-Elle est magnifique.
-Je crois que c’est une jument qui vient de l’élevage de votre grand-père.
-Vraiment ? C’est une championne alors.
-A la retraite bien méritée…
Durant cette petite randonnée d’une heure, Herbert était un guide parfait, il savait tout sur les différents monuments ou constructions devant lesquelles nous passions, je buvais littéralement ses personnes, quand il passait devant moi, je ne me lassais pas de le détaillé. Un cavalier sachant se tenir, c’était indéniable, aucune manie de ceux qui on apprit à monté sur le tas, les étriers bien positionné, des talonnades invisibles, un jeu de raines parfait. Lorsqu’il se retourna dans ma direction, je ne pus cacher mon trouble, je rougis comme un gosse avant de rire en guise de diversion, d’un de ces rires nerveux incontrolables.
-Qu’est se qui vous fait rire ?
-Je me demandais ou vous aviez appris à monter comme ça ?
-Au manège de Düsseldorf, puis avec mon père, il avait quelques chevaux. Vous voyez ce village devant nous, c’est là que nous allons.
-C’est vraiment très pittoresque ici.
-Figurez-vous que le village a pourtant été complètement détruit en 45 sous les bombardements, la volonté des villageois a été de tout reconstruire à l’identique. Je pense qu’ils ont eu raison. Il est tellement reposant, le temps semble s’y être arrêté et pourtant il est bien réel et vivant.
-Vous aimez ce village ?
-C’est celui de mon enfance, ma mère en est native. Mais là, nous allons laisser les chevaux à l’auberge de l’entrée du bourg et nous allons nous rendre chez Denise, une femme adorable dont le magasin vaut le détour.
Comment décrire à l’aide de mots cette boutique, un maison blanche typique, au colombage vert pâle, derrière les petites fenêtres des chaussures bien mise en évidence sur des socles, et à l’intérieur un capharnaüm de boîtes de chaussures, un fourbi organisé ou seul sa propriétaire s’y retrouve. (En italique, dialogue se tenant en allemand)
-Et bien Herbert, tu as besoin de quelques choses ?
-Pas vraiment Denise, je suis venu montrer ta boutique à un ami, mais qui sait, peut-être trouverons-nous, notre bonheur.
Alors que la vendeuse en question me détaillait, je lui dis en allemand.
-Enchanté madame.
-Ca alors, il y a une éternité qu’un Birken n’a pas mis les pieds dans ma boutique. Grand-pa vivait encore, et votre grand-père avait du insister pour qu’on prenne vos chaussures à l’époque et depuis on ne vend plus que ça.
-Excusez moi, je ne suis pas certain d’avoir compris.
-Par chance pour vous monsieur Birken ou Biamond comme vous vous faites appeler en Amérique, j’ai eu un Yankee pour amoureux et je me débrouille encore un peu dans la langue de Shakespeare.
-Même brillamment.
-Alors mon petit Klaus, dites moi, pourquoi vous êtes là.
-Le monsieur ici aurait besoin d’un petit exposé sur les Bibi.
-Les Bibi ?
-Les meilleurs chaussures que l’Allemagne a jamais fabriquée, et que pour une raison qui nous échappe à tous, vous avez décider d’en arrêté la production. Voyez un peu, ces chaussures que j’ai au pied, chaque allemande, en a portée au moins une fois dans sa vie. Moi toute ma vie, et heureusement que j’en ai en stock pour finir mes jours. Allons derrière, que je vous fasse une petite rétrospective. Vous prendrez un choco tous les deux ?
-Oui Denise, mais prend ton temps, nous avons le temps et il faut que le petit apprenne sa leçon!
-Bien, dans cette boîte, les premières affiches des Bibi, sortie tout droit des ateliers de chez les Birken. Votre arrière grand-père a tout simplement eu la bonne idée de commercialiser les sandales de notre région, en les simplifiant des artifices inutiles style pompons ou clochettes, que les jeunes filles ajoutaient le jour de leur mariage. Je n’ai bien entendu pas connue cette époque, ce sont des héritages ses affiches, j’y tiens et j’en prends grand soin par égard pour ceux qui les ont conservées avant moi. Mais vous pourrez jugez grâce à ses affiches que le modèle en lui-même a traversée bien des générations. Sans jamais prendre une ride. C’est un peu la chaussure du peuple, celle qui en plus d’être joli ne vous fait pas mal aux pieds ! Ne riez pas, c’est important pour une chaussure. Dans cette boîte, le regain de la chaussure dans les années cinquante, dans cette autre, les modèles des glorieuses, la Bibi avait tellement été simplifiée, que s’était quasiment devenu une pantoufle de mamy. Votre père nous l’avait rendue, avec chaque année une variante pour la contre façon. En nonante deux, un scratch, en nonante trois un bouton pression, en nonante quatre un bout plus épais, en nonante huit, ma préférée celle avec un petit talon plat plus haut. En 2002 la mixte, ça s’était encore une bonne idée de votre père. Et 2003, plus de Bibi au catalogue, excepté dans la collection enfant ou elle se décline dans toutes les couleurs et en daim, dommage que j’ai un grand pied, et que les pointures enfants cessent au 36, sans ça je me chausserai au rayon enfant. Et cette boucle que tu nous as remis au goût du jour Klaus, qu’elle merveille.
-Elles se vendent bien ?
-Pardis, j’en suis à ma troisième commande depuis qu’elles sont sorties.
-Vous avez des affiches de cette nouvelle collection ?
-Dans la fenêtre sur le pignon en sortant vers l’Eglise.
-Nous devons poursuivre notre route, j’ai encore d’autre chose à lui montrer, et nous sommes pris par le temps.
-Repasse me voir à l’occasion.
-Bien entendu Denise, à bientôt.
***
-Elles sont mignonnes vos chaussures pour enfants.
-Vos chaussures, moi je les ai juste mis au goût du jour et en évidence.
-Comment se fait-il que le département enfant et adulte ne travaillent pas en synergie.
-Car ce sont des usines bien distinctes depuis toujours.
-Allons voir le mémorial de la place du village de plus prêt. Ne remarquez-vous rien ?
-J’hallucine au ce soldat porte des Bibi.
-Pas des Bibi, mais des Birken, le pendant masculin pour homme. Ici c’est un mémorial aux canonniers de 14, l’ancêtre des chaussures de sécurité si vous voulez.
-Et vous et Denise, me faites comprendre que par ignorance, je supprime des rayonnages allemands une chaussure nationale…
-Elle existe toujours pour les enfants. Si vous le voulez, nous allons maintenant nous rendre au fort, mais pour ça nous devons prendre la télécabine.
-Encore des chaussures ?
-Un chouya, mais surtout une vue imprenable.
La vue en effet était splendide, la visite du fort fut très intéressante, nous nous attardâmes quelques minutes de plus que le groupe sur une vitrine dédiée à l’habillement des militaires, dans laquelle, on rendait une sorte d’hommage au Birken pour homme. Des chaussures de sécurité sur lesquels même un camion pouvait rouler sans broyer les pieds du militaire. Ses quelques minutes, nous valurent de raté la dernière cabine, ils commençaient à pleuvoir des trompes d’eau, le responsable de la boutique souvenir nous conseilla de passer la nuit dans l’auberge de jeunesse attenante au site, que seul occupait un groupe d’enfant d’école élémentaire avec leurs instituteurs. J’étais épuisé par la randonnée, je ne me le fis pas dire deux fois, je dormirais en auberge de jeunesse. Dans le réfectoire, on nous servit une goulache élémentaire et des pommes de terre rissolées. Je n’avais qu’une hâte prendre une douche et me coucher, manque de bol, un des enfants reconnus en moi un certain « Kevin », un personnage que j’avais joué dans une comédie pour ado ayant eu un grand succès en Allemagne. 25 photos et autographes plus tard, je me dirigeais vers ce dortoir que je devais partager avec Herbert, j’entendais les jets d’une douche qu’il devait prendre, me doutant que les cabines douches devaient être en enfilade à proximité, je me dévêtit, ne garda que mon boxer, muni de la serviette que j’attrapa au vol sur un des lits, je me rendis dans les douches. Dans mes souvenirs de colonies de vacances, les douches n’étaient pas communes dans les auberges de jeunesse, en Allemagne bien. Je tombais directement sur Herbert, nu en train de se savonner, ses jambes poilues contrastait avec son torse quasi imberbe, excepté une ligne reliant son nombril à son pubis, et quelques poils autour des tétons. Je fixa furtivement bien malgré moi, cette impressionnante verge au repos qui semblait avoir été greffée par erreur et importée d’Afrique sur son corps. Pour enfin me reprendre et m’excusez.
-Excusez-moi, je ne savais pas que les douches étaient communes, j’étais fatigué et…
-Ne vous excusez pas, pour avoir une musculature comme la votre, ne me dite pas que vous n’avez jamais pris de douche collective. Et puis comme ça on est quitte.
-On est quitte ?
-Moi j’ai déjà vu sur grand écran votre derrière.
-Oh, il est aussi sur Internet celui-là… Et si ça ne vous dérange pas, je suis tellement fatigué, que je n’ai qu’une hâte…
-Venez, on est quand même tous fait de la même façon.
J’enlevai donc mon boxer, et choisit un pommeau qui se trouvait en vis-à-vis du sien, pas à côté, par peur qu’il me voit bandé. Par chance, ma queue reprit sa taille normale. Mais je n’avais pas de savon. Je dus donc me retourner pour lui en demander.
-Vous avez du savon ?
-Dans le distributeur près du pommeau.
-Le mien est vide.
-Pas le mien.
Je me déplaça donc et pris ma douche juste à côté de lui. Je ne pus pas faire sans regarder son impressionnant engin qui pendouillait mollement entre ses jambes. Je me demandais même ce que ça pouvait donner en érection un braquemart pareil, et le plaignait même un peu, j’imaginais que des filles auraient pu en être effrayé. Ensuite je me dis que sur ce terrain là, aucune chance de m’y mesurer, et cela me fit rire.
-Pourquoi riez-vous ?
-Je n’oserai jamais vous le dire.
-Mais si dites. Que je rigole moi aussi.
-Et bien, je me disais qu’à la course c’est indéniable, je vous bats. Mais qu’il est un terrain que maintenant que je le connais, je ne vous défierai jamais, ne faisant pas le poid.
-Ha oui et quel est-il ?
Pour réponse, je fis un mouvement d’épaules, et étant face à face lui chercha dans mes yeux, une réponse, ou sur mes lèvres, une réponse qui ne venait pas. Je baissa donc sur son insistance les yeux vers mon sexe, puis je regarda le sien et ainsi de suite une ou deux fois. Il fit de même et s’esclaffa assez fort.
-Se n’est pas une raison pour vous marrez ainsi, je vais finir par mal le prendre.
-C’est que je n’y suis pour rien, si mère nature m’a mieux pourvu que vous.
-Ca reste encore à voir tout de même, si elle n’est pas là à son maximum.
Il s’esclaffa encore un peu plus…
-On dirait deux ados qui découvrent des « choses ». Et il sortit pour s’essuyer. Moi de mon côté, je prolongeais encore un peu ma douche, au moment ou je sortis à mon tour, je le vis se glisser nu sous un drap, après m’être essuyer je fis pareils que lui sur un des lits voisins. J’éteignis l’éclairage, et avant de m’endormir, j’avoue que je scrutais dans la pénombre, la bosse blanche que formait son paquet sous les draps.
(Voulez-vous savoir la suite, faites le moi savoir avec vos commentaires!)
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