Lundi 21 février 1 21 /02 /Fév 02:14

 

Une déception, une de plus, voilà ce que je me disais en commençant ma journée, et la vie reprend son cours, je reçois mes futurs fournisseurs, gère les équipes en place sur le chantier qui chaque jour ont toutes un lot de questions plus inatendues les unes que les autres.

Perso des questions sur Stephan, je ne m’en posais plus du tout, en supprimant son numéro de mon mobile, ma conclusion était, surtout ne pas tomber dans ce milieu de clichés et de faux semblants. Et puis ce constat, ne suis-je pas bien mieux seul en fin de compte ?

Pas le temps de penser, réunion de chantier, Alyne et ma cousine sont sur le pied de guerre, elles veulent me parler séparément en tête à tête. La première s’inquiète de mes horraires, les mères toutes pareilles. Elle souhaite également que j’aille en Allemagne gérer quelques soucis, elle a des doutes sur un de nos collaborateurs, elle a remarqué une baisse de rentrée fort inhabituelle, et les maquettes du nouveau catalogue ne lui plaise pas du tout. Elle admet que je lui en demande beaucoup, mais elle voit quelqu’un depuis peu m’avoue t’elle.

-Mais maman, je suis fort content pour vous !

-C’est vrai, ça ne te dérange pas ?

-Que du contraire, je suis content de ne plus te savoir seul dans cette grande maison, après avoir réglé ces problèmes en Allemagne, j’en profiterai pour faire un saut chez Olga, elle me réclame à corps et à cris.

-Avant ton départ, j’aimerai te le présenter, et tu me diras ce que tu penses de lui.

-Voilà qui est fort surprenant de votre part !

-Je n’e n ferais quand même qu’à ma tête fiston, mais j’aimerai mieux que vous vous entendiez.

-Moi tu sais, tant qu’il ne met pas son nez dans tes et mes affaires, je ne souhaite que ton bonheur.

-Je pense qu’il en a assez avec les siennes.

-Il y a des gens qui n’en ont jamais assez, vous savez bien, je ne vais pas vous rapeler les péripéties de votre amie Hélène…

-Ne me compare pas avec cette bécasse d’Hélène s’il te plaît !

-Je le connais ?

-Un peu, de vue tout au plus, il fait partie de mon agenda depuis l’université.

-Mais encore ?

-Il s’agit d’un vieil ami, Peter a fait les Sciences Eco tandis que je faisais les Sciences Po et nous avons eu pas mal de cours généraux ensemble au long de notre cursus, je ne vais pas te mentir en son temps nous avion flirter déjà. Il est divorcé depuis deux ans, nous nous sommes revus lors d’un vernissage à Gand et voilà…

-Voilà…

-Aussi, je n’aime pas te savoir seul, célibataire et repartant pour un voyage aux USA, quand vais-je savoir si tu reviens ou pas ? Herbert était un gentil garçon, si tu allais le trouver une fois sur place, après une bonne discussion qui sait ?

-Je t’arrête de suite, il n’en est pas question pour Herbert, pour les USA, maximum un mois. J’espère que tu ne m’envois pas làbas, juste pour lui ?

-Non, mais faire d’une pierre deux coups, ça m’aurait plue, tu as l’air tranché sur la question, n’en parlons plus. Karine fait les cent pas dans ton bureau, elle doit vouloir te parler, soit prêt ce soir vers 17h30 pour l’apéritif, Peter sera des nôtres.

Ma cousine m’amena d’emblée sur l’équipe d’un de ses amis, celui-là même qui avait le béguin pour moi quelques mois auparavant.  En arguant quelques bonnes prestations de sa part, elle me dit qu’il est fou amoureux de moi, qu’il ne sait pas comment me le faire comprendre et qu’il est prêt à tout pour moi. Elle argumente en me disant que ça me ferait du bien de trainer avec un gars sympas et gentil comme lui.

-Tu es gentille, mais son problème, c’est qu’il est vraiment mais alors très très gentil ! Trop, tu me suis et il n’est pas du tout mon style de mec.  Tu n’as qu’à lui dire que je suis quasé, et qu’on arrête de vouloir me caser à tous prix.

-Je me doutais de ta réponse, il n’est peut-être pas fort joli, mais il a d’autres qualités.

-Je n’en doute pas. Mais merci, et je ne l’ai jamais laissé espérer quoi que ce soit !

Un dîner avec un potentiel beau père, qui de prime à bord m’a l’air parfaitement compatible avec Alyne, distingué et de son agenda comme elle dit. Un séjour en Allemagne, où curieusement j’étais content de retrouver mon bureau, soit trois petites journées pour mettre dehors le mauvais élément et faire part de notre mécontentement en général.  Face à Herbert, j’étais intransigeant, n’hésitant pas à blâmer, menacant même de vendre la boîte au plus offrant.  Il voulu me voir après la réunion, je ne lui en laissa pas l’opportunité, je n’avais qu’une hâte, retrouver mon chantier que j’imaginais à tort ne pas savoir tourner sans moi. En quelques jours toute une aile du bâtiment enfin était terminée, l’acitivité va sous peu pouvoir commencée. Et pourtant, j’ai réservé en ligne mon billet d’avion, il y a avait longtemps que ça ne m’avait plus pris, cet appel du nouveau continent… Je n’ai plus qu’un hâte, revoir la maison de L, Kate et Olga avec qui j’espère nous allons pouvoir calement prendre un verre à la « Terrasse » y parler du bon vieux temps comme de l’avenir….

Une journée de plus venait encore de passée, ayant bloqué son numéro avant de le supprimer, je n’avais plus de nouvelles de Stephan, ce que je ne savais pas encore c’est qu’il est tenace le jeune homme.  Du chantier à chez Alyne il n’y a que deux petits kilomètres à faire sur un petit chemin de campagne, ce soir là, par chance Alyne et son bon ami était à la Monnaie, on me fit appelé sur le porche, je ne sais pas qui lui avait dit ou me trouver, mais il était là dans mon antre.

Ce que je nomme ici antre, n’est autre que la propriété de famille, celle qui nous vient de ma grand-mère, imposante par son histoire, par sa taille, excepté L et Francis, jamais un amant n’y a mis les pieds.

-J’ai longuement hésité à frapper ici mais des ouvriers sur le chantier m’ont assuré que tu étais le chatelain.

-Bien et maintenant que tu m’as trouvé ?

-Tu rigoles là, tu n’habites pas ici ?

-Ca se pourait…. Que me veux-tu ?

-Tu n’es pas content de me revoir ?

-Devrais-je l’être ?

-J’ai essayé vingt fois de t’appeler, mais tu ne réponds pas, aussi je suis une fois de plus venu à toi.

-Tu  perds ton temps.

-Mais non, j’en suis certain !

-Ecoute, je crois tout simplement que nous sommes trop différent.

-Cette scène, à laquelle j’ai assisté dans ton flat, ça dépasse mon entendement, tu comprends ? Tu y es peut-être pour rien, mais…

-Ecoute, il a compris cette fois, j’ai récuperer toutes mes clés, il a fait ses affaires, tu ne le veras plus jamais, je peux te le jurer. Je peux tout te raconter aussi. Je l’ai rencontré en boîte il y a dix ans, on était tout les deux dans la fleur de l’âge, on s’est plut physiquement et les choses se sont enchainées d’elle-même. Moi je me suis spécialisé dans mon domaine, lui de son côté a accumulé échec sur échec, j’ai travaillé pour un chef, j’ai pu me payer mon flat, naturellement il a enménagé avec moi, puisque nous étions ensemble. La vie commune a été la pire des choses qui soit dés le début le fossé c’est creusé entre nous, lui accumulant les échecs scolaires, les problèmes de famille et je ten passe des meilleurs, j’avais pitié de lui, à chaque fois que je voulais rompre, il lui tombait une nouvelle tuile dessus, et donc à chaque fois je reportais.

-Tu sais, ça ne me regarde pas.

-Mais si, j’y viens, j’ai ouvert l’année dernière mon propre resto, j’ai aménagé le studio au dessus, je voulais vendre l’appart qui était le mien ou nous avions habité en commun, mais il ne trouvait pas ou se loger aussi bien que nous ayons rompu, je n’avais pas le courage de le foutre à la rue, mais en me dérobant les clés du resto et du studio, il a été trop loin, nous avons longuement discuté, et je lui ai dis tous les sentiments que j’ai pour toi, que je n’ai jamais eu pour lui. Notre amitié de sorteurs invétérés, c’est tout ce que nous avions, avec toi, c’est différent, pas que physique, c’est chimique…

-Tu es poète à tes heures, lol !

-Je suis on ne peut plus sérieux. Je pense tout le temps à toi, je n’ai qu’une envie toujours te serrer dans mes bras, je sais que je te plais et qu’avec le temps, je saurais me rendre indispensable à toi.

-

-Tu ne dis rien, je voulais te proposer un petit ciné, puis, on irait prendre un verre, on s’apprivoiserait un petit peu, comme avec le renard de St Ex.

-C’est qu’il est cultivé le chef !

-Moque toi !

-Non, je constatais, entre il pleut des cordes, si on laisse plus longtemps la porte ouverte les cheminées vont refoulées.

-Waw, ça c’est de la baraque ! Dit-il en rentrant à l’intérieur.

-Respect avec ma maison.

-Je voulais dire, du château… C’est vraiment chez toi ?

-Nous sommes chez ma mère.

-Pfiiiou ! C’est trop géant. Vous faites visiter ?

-Tu fais visiter ton flat ?

-C’est pas comparable, mais j’ai saisi le message. C’est la reine Elisabeth ?

-Oui ce portrait est un cadeau qu’elle a faite en personne à ma grand-mère lorsqu’elle a quittée son service de demoiselle d’honneur, afin qu’elle n’oublie pas leurs années de vies communes. Je ne sais pas pourquoi je te raconte ça.

-C’est très intéressant, quelle chance se doit être de grandir ici. Pas besoin de livre d’histoire quoi !

-Il y en a plein la bibliothèque t’inquiète.

-Vous avez une bibliothèque style, la belle et la bête ?

-En moins utopique, vient voir.

-Mazette ! C’est le château de la bête quoi…

-La bête c’est moi ce soir…

Je me suis glissé dans son dos et j’ai titillé de la langue son oreil, je l’ai aussi mordillée, il a tourné son visage pour que je l’embrasse, sans bouger en nous embrassant j’ai malaxer ses fesses au travers de son pantalon de cuir, motard invétéré oblige, j’ai ouvert son pantalon pour le faire glisser le long de ses jambes tout en ouvrant le mien, j’ai craché dans ma main, étalé ma salive sur sa raie poilue, sans autre forme de procès, j’ai fais quelques va et vient avec ma main sur ma queue, pendant que du majeur je titillais sa rondelle. Je m’attendais à ce qu’il se cabre, mais neni, il se laissa faire, aussi quand il s’est appuyé sur la table central, je me suis lentement mais san à coups enfoncé entre ses deux fesses. Une fois arrivé au but, il haletait, pour le ménager, je suis resté immobile, il a tourné sa tête vers moi, je me suis saisi de ses lèvres, et tout en l’embrassant, j’ai commencé mon pillonage en règle, je l’ai démonté tant que j’ai pu, je ne sais par quelle mystère nous nous sommes retrouvé sous la table, lui couché sur le ventre, déchargeant sur le tapis perse tandis que moi, plusieurs jets  se perdirent en lui. Je suis resté un moment sur son dos toujours dur, commençant à débander, ses sphyncters se contractant sur ma verge devenue molassone, je l’ai retirée d’entre ses deux fesses. Une dernière goutte à coulée sur son beau postérieur tandis que s’ échapait de sa rosette quelques grumaux.

-Allez la belle, suis moi, je vais te montrer mes appartements…

 

Par flav1982.over-blog.com - Publié dans : Stephan - Communauté : Communauté gay
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