Flashback sur ma vie ou La vie d'un mec Gay: Flav
Ses passions, ses amours,...
(Pour lire le récit succintement, il faut aller à reculons, et commencer par le texte de la dernière page.)
-Allez juste un verre, il est déjà servit. Je te ramène chez toi juste après, c’est sur ma route.
-Pas du tout !
-Ca me fait plaisir, je te trouve sympa, ce n’est pas tout les jours que je peux taper la discu.
-Dans ce cas, je me dévoue.
-Tu es attendu peut-être ?
-Non pas que je sache.
-Célibataire dans ce cas ?
-Je ne l’avais pas vu venir celle-là !
-Ca permet d’éviter les déceptions d’être fixé et comme je te trouve pas mal mignon !
-Flatteur !
-Alors ?
-Je le suis. Dans le genre direct tu fais fort!
-Aurais-je affaire à une vierge effarouchée ?
-Non, j’ai juste l’habitude qu’on mette un peu plus de formes.
-J’aurai du m’en douter remarque.
- Ha bon, explique-moi cela.
-Une intuition, un sentiment surtout, en fait deux impressions qui s’annule.
-Ce ne veut rien dire du tout.
-Si nous sommes amenés à nous revoir et si tu n’oublies pas d’ici là, je reviendrai sur ces deux impressions, je ne peux révéler mon jeu aussi vite.
-Soit…
-Que fais-tu demain soir ?
-Je ne sais pas encore.
-Dans ce cas, que dirais-tu d’aller dans mon resto favori ?
-Pourquoi pas !
*********
-Un chinois ! Je m’attendais à autre chose.
-Ils font les meilleurs nouilles de tout Bruxelles. Tu m’en diras des nouvelles.
-Il faut savoir qu’il y a un restaurant dans cette impasse, pas de fenêtre, je n’ose imaginer l’état de la cuisine.
-Mais qu’on est précieux !
-Pas du tout.
-Mais si !
-Mais non !
-Oh que si.
-Flute !
-Je viens toutes les semaines et je n’ai jamais été malade.
-Espérons qu’il en aille de même pour moi, je ne raffole pas des plats chinois, j’ai du mal à les digérer.
-J’avais cru comprendre ! Laisse moi choisir pour toi, tu me diras demain si je t’ai bien conseillé. Tu veux bien ?
-Ok…
-Alors monsieur aime t-il les gambas ?
-A petites doses.
-Bien dans ce cas, que dirais-tu d’un potage Wantan, ravioli de bœuf si tu veux ?
-Tu prends ça ?
-Oui chaque semaine. Il ponctue ses mots d’un sourire charmeur auquel je ne suis pas insensible et j’accepte. Il est assez marrant dans sa façon de me proposer des plats de la carte. Il est volubile et dégage en plus d’un sex appeal, une bonhomie rassurante. Parlons de lui physiquement, les cheveux abondant, noirs, en bataille maintenu par un gel indestructible discret, deux sourcils noirs épais mais bien dessiné qui mettent en plus de longs cils en évidence des yeux verts, un sourire enjôleur, il remonte souvent les manches de son pull et j’ai déjà à ce stade de la soirée lorgné plus d’une fois ses avants bras fort poilus. Il mesure un mètre quatre vingt, son sweat accentue sa taille, mais il n’est pas mince pour autant, même bien bâtit, la carrure de ses épaules est quasiment le double de sa taille.
-Ok, je vais éssayé.
-Et essayons un hors d’œuvre cantonais, ça reprends un peu toute les entrées de la carte, ensuite si tu aimes le saumon, je te conseille de le prendre Ti-Pan sauce huître, un délice.
-C’est toi l’expert, je me remets entre tes mains.
-Déjà ?
-Il te faudra plus qu’un restaurant pour ça.
-Je suis tenace et ai tout mon temps.
-Tant mieux, moi aussi.
-Ce soir, chez toi ou chez moi ?
-…
-Je blague ne fait pas cette tête là.
-On t’a déjà dit qu’on lisait sur ton visage comme dans un livre ouvert.
-Oui, malheureusement.
-Je n’ai décidément rien d’original.
-Je n’ai pas dis ça.
Nous avons parlé de tout et de rien, dans une bonne ambiance, devant de bons plats que j’ai parfaitement bien digérés. Au lieu de rentré chacun chez soi de notre côté, nous nous sommes promenés dans les rues de Bruxelles. Je n’ai pas pu m’empêché de commenté les différents bâtiments historiques devant lesquels nous passions. Ca ne semblait pas le déranger, puisqu’à l’occasion il me posait quelques questions. Devant le premier roi des Belges, alors que je lui racontais la petite histoire de la statue, il s’est approché dans mon dos, je me suis tût quand j’ai sentis son souffle chaud buter contre ma nuque. Il m’a dit de continuer, j’ai repris le cours de mon explication que j’ai cessé dés que j’ai sentis ses lèvres se poser dans mon cou.
-J’en avais très envie, tu ne m’en veux pas.s
-Non c’était très doux Stephan.
-Et agréable ?
-Très agréable ?
-Très, ai-je répondu alors que mon cœur s’accélérait et que la voix me manquait.
-Je peux recommencer alors ?
-…
-Qui ne dit mot consent… Il a à nouveau posé ses lèvres dans mon cou, quelques petits bécots électrisant plus tard, il m’a fait pivoter sur moi-même, je me suis retrouvé dans ses bras, tendant mon visage vers le sien, je ne sais pas combien de temps à durer notre premier baisé, mais il en dépasse à ce jour plus d’un en qualité.
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Il paraît que l'issue soit inéluctable... vers du torride... ou un pétard mouillé ? Tiens-nous au courant, s'il te plait.
A suivre lol Et si tu as déjà lu la suite tu sais déjà ;) Biz
trop bon
je vais lire la suite
Ca devrait toujours être comme ça! biz